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Torpédo 138 de 1911 (photos prises sur "les anciennes")
Le modèle 138 a été produit en torpédo et limousine durant la période 1911à 1912 à raison de 925 unités à Audicourt.
Vitesse maxi 52 km/h
Un autre modèle , la 138A était la version "sport" (démultiplication modifiée et carrosserie allégée)
Vitesse maxi 64 km/h

ah ouais... c'est beau...

Je dirais même : Ah Ouais... c'est beau... !

Je dirais même Plus : Ah Ouais... c'est beau... !

C'est très très beau !!!!

et son carrossier......

1899 Peugeot type 26












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Cette Peugeot a été livrée à Toulouse le 11 octobre 1899 comme indiqué dans une lettre de Peugeot au dossier, cette information étant en provenance des archives originales de l'usine, qui existent encore.
Ce modèle, rétrospectivement désigné par Peugeot comme le type 26, a été annoncé dans la presse automobile française et britannique à l'été 1899.
Il est photographié et décrit dans The Autocar (1er juillet 1899), La Locomotion (20 juillet 1899) et La France Automobile (17 septembre 1899) et est également présenté dans la littérature Peugeot contemporaine (copies versées au dossier. )
C'était l'un des rares modèles avec une seule chaîne d'entraînement.
Le moteur horizontal 3CV bicylindres, conçu par Peugeot, est situé à l'arrière et remplace le Daimler utilisé dans les premières voitures de Peugeot.

J'adore

Un superbe résumé en texte et photos! En effet ce modèle 26 se démarque des autres: 3 vitesses au lieu de 4, 1 chaîne d'entrainement au lieu de 2.
Une grosse production: 419 exemplaires entre 1899 et 1902 alors que le reste de la production du moment n'atteignait que quelques dizaines au maximum. Ce modèle pouvait recevoir un toit souple.
35km/heures en vitesse de pointe pour 1056cm3, poids 530kg

Cette restauration est magnifique!!!
Et remplacer le panier pour traverser gué ou flaque d'eau... Il fallait "osier" !!!...

Sur la photo ci-dessus, on voit la pub pour La Vieille Cure
La Vieille Cure était une respectable maison cenonnaise de spiritueux fondée en 1869 par le distillateur Marcel Bussières — l’entreprise ne prit le nom de Vieille Cure qu’en 1909 sous la direction de Marcel Bussières fils — qui fabriquait une liqueur jaune et l’autre verte, dans le goût de celles dénommées Chartreuse ou Bénédictine.
Les publicités de la marque jouaient d’ailleurs la même carte monastique, celle d’une vénérable liqueur soi-disant élaborée selon la recette mise au point par le prieur de l’abbaye des moines de la Merci fondée en 1218 en terre cenonaise (cependant cette vieille cure-là n'était pas forcément là où fut installée la distillerie).
La jaune, la verte, cela fait penser à d’autres liqueurs, celles des voisins basques, Izarra, produites tout d’abord à Hendaye, puis Bayonne. Cependant la liqueur euscarienne n’ayant été commercialisée qu’à partir de 1906, ce n’est pas Marcel Bussière qui a copié sur son voisin. A ce propos, ceux ayant eu l’occasion de visiter l’ancienne distillerie bayonnaise, avant que cette production ne soit hélas délocalisée extra territorium, se souviendront certainement des senteurs extraordinaires qui s’exhalaient alors au bord de l’Adour.
La marque La Vieille Cure se développa considérablement dans la première moitié du XXème siècle, elle ouvrit des points de ventes dans plusieurs pays européen — ses liqueurs furent même servies à bord des avions de la compagnie Air-France.
L’entreprise employa jusqu’à 130 employés. Puis vint la mode de l’apéritif qu’on n’appelait pas encore apéro.
C’est ainsi qu’après le rachat par le néerlandais Bols, la marque périclita puis finit par disparaitre.
Ceux qui empruntent, à Cenon, la côte de La Vieille Cure et se dirigent ensuite vers le Centre des Impôts passent sous un pont qui relie encore les anciens vergers de la distillerie.
Les derniers hectares sont appelés à être prochainement lotis.
Il faut bien comprendre la révolution culturelle que constitua la popularisation de l’apéritif.
Autrefois, je veux dire par là avant les années cinquante, cette pratique apéritive n’existait quasiment pas dans la région et se limitait le plus souvent au "coup de blanc" avant le repas.
En revanche, il n’était pas de repas d’une certaine importance qui ne se terminait par les liqueurs, les vieux armagnacs, la poire et autres fines. On sortait alors les tout petits verres des élégants « cabarets à liqueurs » en marqueterie, on se carrait sur sa chaise, où plus confortablement dans un fauteuil Voltaire — la tête y est calée — et on goutait bien des choses.
L’apéritif, qu’il soit anisé (on se souvient du Courbajo local apparu en 1950), ou à base de distillation de céréales (les whiskeys), a mis fin à la longue tradition des digestifs en même temps qu’à un certain art de vivre à la française.
C’est autre chose, on peut se lever de son siège, discuter à droite à gauche, il se crée ainsi une certaine convivialité à l’anglo-saxonne, une ambiance moins propice à la méditation et à l’énoncé de pensées profondes qu’apportait la consommation des liqueurs.
C’est le progrès.
https://www.sudouest.fr/redaction/insol ... 0wx4_DKIvc

il y a 100 ans....!

Gaby Montbreuse au Championnat des artistes, 23.05.1924, Parc des Princes

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